Ils n'étaient que 31,9 % en 2004, indique la 12e enquête sur les besoins en emplois et formations dans les fonctions logistiques de l'AFT-IFTIM présentée le 28 février.
Une perte de 11 points qui découle « d'une volonté de maîtriser les coûts en refusant l'achat de prestations extérieures » analyse Jean-André Lasserre, responsable des études et des recherches au sein de l'IPTL. Surtout chez les donneurs d'ordre de l'automobile, où 19 % ont décidé de ne plus externaliser leurs trafics. Paradoxalement, c'est pourtant chez les transporteurs et logisticiens que l'évolution des effectifs logistiques a été la plus dynamique l'an passé. 25,6 % ont vu le nombre d'opérateurs croître dans leur entreprise, contre seulement 11,5 % dans l'industrie automobile. Dans le même temps, le nombre d'établissements de transport ayant réalisé des recrutements en logistique progresse de près 15 % comparé à 2004. Ces embauches visent à réorganiser la logistique dans 38,7 % des cas, améliorer la productivité (22,7 %) et remplacer les dé
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