C'est en substance ce qu'a déclaré le Premier ministre suédois, Fredrik Reinfeldt, lors d'un séminaire au Centre d'études de la politique européenne à Bruxelles. Dans son discours, il a notamment mentionné les conditions particulières qui vont marquer cette présidence à compter du 1er juillet. La mise en place d'un nouveau Parlement européen, l'entrée en action d'une nouvelle Commission et l'incertitude autour du Traité de Lisbonne en sont quelques exemples. « En même temps, je veux souligner que les défis auxquels nous devons faire face, ne sont pas seulement la responsabilité de la Présidence suédoise. C'est la responsabilité de toute l'Europe », a-t-il ajouté. Une manière de marteler que l'UE doit agir de concert et adopter une position commune pour parvenir à un accord international lors de la conférence de Copenhague (du 7 au 18 décembre), laquelle est censée aboutir à un accord mondial sur le changement climatique qui entrera en vigueur lorsque le protocole de Kyoto viendra à
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