« NOUS IRONS OU PAS AUX ÉTATS GÉNÉRAUX »

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Promis à l'issue de l'accord social du 11 décembre, les États Généraux devraient débuter le 19 janvier, sous la houlette de Dominique Bussereau. La FNTR, critique sur les conditions et la teneur de l'accord, pose des conditions. Jean-Christophe Pic s'en explique, sans détours de langage.

L'OT : Avec le recul, comment expliquez-vous le cavalier seul de TLF sur les minima conventionnels ?

J-C. P. : C'est la preuve, une fois de plus, que TLF ne défend pas les intérêts des transporteurs routiers et que nous ne représentons pas les mêmes métiers. Et lorsqu'il y a conflit d'intérêts, ce ne sont pas ceux des transporteurs qui sont pris en compte. En ne s'appuyant pas sur une homogénéité patronale et en visant une signature unilatérale, TLF a empêché la délégation patronale de peser plus efficacement sur les négociations. Cela nous permet de dire que les signataires ne sont pas les payeurs. De plus, la contrepartie des 100 M€ d'allégements Fillon n'est pas satisfaisante. Les augmentations cumulées de la convention collective et du SMIC annulent complètement pour le coefficient 138M ou réduisent sensiblement pour le coefficien

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