Dans un journal de Perpignan, on décrit chez vous un parcours professionnel semé, selon des témoignages, de pratiques douteuses...
Dominique Boig : Ce tissu de mensonges provient de Jean-Claude Garcia, un ancien transporteur qui s'était associé avec moi dans une affaire et m'avait laissé un trou de 350 000 €. Il encaissait les chèques pour son compte personnel. Quant au journal auquel vous faites référence, il appartient à des gens qui n'aiment pas les rapatriés d'Algérie, dont je fais partie.
Un quotidien de l'Yonne vous a pourtant épinglés pour la manière dont vous avez agi dans le cadre de la reprise de Redolfi...
D.B. : Chez Redolfi, il y a eu des licenciements pour faute grave, des démissions, et une secrétaire a été mise à pied pour avoir rendu des camions (Volvo) sans que le contrat soit résilié. On nous reproche également un recours anormal, v
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