Mais d'ici la fin de l'année, une passation de pouvoir devrait avoir lieu en faveur d'un « dirigeant lyonnais », dit-on chez TLF, lequel prendrait seul les rênes de l'organisation, entouré d'un comité exécutif et fort des sept commissions «métier» présidées par MM. Lahaye (Route), Schmitt (Messagerie), Pouhaër (Location), Guenel (maritime et multimodal), Anton (Douanes), Boucheteil (Ferroviaire) et Pépin (Supply chain). Constatant que la France importe de plus en plus et que les transports sont déterminés par leur origine, TLF veut lutter contre la perte d'influence des ports français (seuls 36 % des conteneurs à destination de l'Hexagone passe par des ports français) et juguler l'érosion du pavillon français sur les échanges avec les pays voisins. « Prenons exemple sur l'Allemagne qui n'est pas un pays à bas coûts. Son pavillon se redresse alors que nos entreprises tricolores se replient sans cesse sur du national et du régional », affirme Alain Bréau. Dans ce contexte, les représentants d
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