L'action du messager, soumis à restructurations depuis 2004, se traduira également par un « calcul plus juste de la valeur ajoutée des services ». « Des décalages par rapport aux prestations commandées telles que déclarations de poids erronées, retours de palettes non programmés ou récépissés non émargés qui engendrent d'importants surcoûts, feront l'objet d'une facturation au donneur d'ordre », indique DHL Express France dirigé depuis mars par Stéphane Corthier. Lequel précise : « Le transport est un élément clé de la valeur ajoutée des produits de nos clients et de leur image de marque. Des investissements conséquents en recherche et développement, en marketing, peuvent être effacés par une distribution et une mise à disposition déficientes des produits auprès du client final [...] ». La filiale de la Deutsche Post met en exergue des coûts salaria
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