Dans un communiqué du 26 mai, l'Union des professionnels de la route dit n'avoir « plus aucun espoir » quant à la volonté de celui qui était encore pour quelques jours ministre des Transports à agir en faveur de la profession. Et, pour faire bonne mesure, elle dénonce « la désinformation à laquelle se livre Gilles de Robien qui, avec la caution d'une organisation professionnelle minoritaire, tente de rassurer les chefs d'entreprises ». Les relations entre l'ex-locataire de l'Hôtel de Roquelaure et l'union se terminent mal. D'ailleurs, le courant n'est jamais passé avec TLF qui lui reprochait de ne pas jouer son rôle de « ministre des transporteurs » et avec l'OTRE qui s'est vue superbement ignorée. Dès lors, l'UPR se tourne résolument vers le successeur de Gilles de Robien pour reprendre les dossiers qu'elle a choisi de mettre en avant : l'allégement des charges sociales et fiscales, les 44 t. Démarche qui passe p
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