OÙ EN EST-ON DES AUTOROUTES DE LA MER ?

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L’interopérabilité a-t-elle le vent en poupe en 2015 ? Les autoroutes de la mer ont-elles un avenir sans aides publiques ? C’est en substance les questions auxquelles ont tenté de répondre les intervenants à la table ronde organisée le 1er avril à la SITL.

Le partenariat est indispensable entre les armateurs et les transporteurs pour développer des lignes maritimes », a d’emblée souligné Juan Riva, président du groupe Suardiaz, opérateur espagnol du transport roulier. C’est une condition nécessaire mais non suffisante. « Nous travaillons toujours avec les transporteurs, a convenu Jean-Pierre Chalus, président du directoire du Port de Nantes-Saint-Nazaire. Nous avons besoin de visibilité. Changer un schéma logistique prend du temps. Il faut avoir une règle du jeu stable ». C’est que l’existence des autoroutes de la mer reste conditionnée à des aides publiques au démarrage pour être viables économiquement. Pour preuve, l’autoroute de la mer Gijon-Montoir, opérée par LD Lines depuis 2010, a dû être suspendue en septembre 2014 malgré un taux de remplissage jugé satisfaisant (75 % annoncés). Depui

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