«Le transport routier n'est pas diabolisé. Du moins pas pour le moment », reconnaît Jean-Paul Deneuville, délégué général de la FNTR. Mais après le tour d'échauffement qu'ont constitué, fin juillet, les premières réunions préparatoires au Grenelle de l'Environnement, c'est le 4 septembre que les choses sérieuses vont vraiment commencer. Il s'agira alors pour les représentants des transporteurs de se poser en forces de propositions. Les siennes, la FNTR les soumettra au nom de la CGPME - et en collaboration avec l'Unostra - par la voix de son coprésident Patrick Vermot-Desroches. Après validation par les unions régionales réunies. Afin de lutter contre les émissions de gaz à effet de serre, l'organisation suggère de réduire la consommation et le nombre de véhicules en circulation. Un objectif qui passe notamment par la généralisation des 44t, l'utilisation des biocarburants, le recours
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