Pour le meilleur ou pour le pire ?

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Et si le transport routier faisait les frais de la réforme de la taxe professionnelle... Cette crainte agite les organisations professionnelles depuis la remise, en fin d'année 2004, du rapport Fouquet.

Nous devons demeurer attentifs à ce que le transport routier ne fasse pas partie des secteurs qui subiront les dommages collatéraux de la réforme de la taxe professionnelle, avertit Jean-Paul Deneuville, délégué général de la FNTR. Ce chantier, qui vise à revenir à une norme plus juste pour les entreprises, pourrait en effet se révéler préjudiciable à certaines activités ». Chargée de plancher sur la réforme de la TP, la commission Fouquet a en effet préconisé d'abandonner la taxation des biens d'équipement et des biens mobiliers au profit d'une imposition locale assise à 80 % sur la valeur ajoutée avec seulement un reliquat de valeur locative immobilière. Une formule qui risque de pénaliser les secteurs les plus gourmands en effectifs salariés au profit de l'industrie jusqu'ici pénalisée par ses investissements. « Le transport routier, qui investit beaucoup mais emploie aussi beaucoup de main d'oeuvre, a du mal à se

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