L'accord sur la revalorisation des minima conventionnels, signé par TLF le 7 décembre (L'OT 2385), continue de faire des vagues. Et oppose durement la FNTR et TLF, en deux temps. Premier acte : le 17 janvier, l'UFT (qui regroupe six fédérations professionnelles dont TLF et la FNTR) vote contre l'extension de l'accord. La FNTR avec l'appui de la Fedimag fait pencher la balance (les voyageurs, les déménageurs et les ambulanciers se sont abstenus, TLF s'est opposé au vote). Motivation de la Fedimag, par la voix de Marie-Françoise Courtin, président-délégué général : « (notre) position n'a été dictée ni par la volonté de soutenir la FNTR, ni par celle de s'opposer à TLF ou aux syndicats. Elle repose sur une seule idée : l'UFT jusqu'ici a toujours été signataire des accords et il n'y a aucune raison pour qu'une brèche soit ouverte dans ce principe. Il fallait garantir l'existence, le pouvoir, la représentativité et l'éthique de l'UFT. Cette position a été
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