Premiers chiffrages sur les soucis d'exploitation

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Les chargeurs sont organisés pour tenir une semaine. Si la grève perdure, son impact sera préjudiciable pour la SNCF, sa branche fret et les opérateurs de transports combiné rail-route. Les entreprises de transport routier ont-elles profité ou fait face à un transfert de marchandises ?

La grève à la SNCF, qui a démarré le 16 novembre, les chargeurs l'ont anticipée en transférant une partie de leurs flux ferroviaires vers la route ou en recourant à des points de stockage différents. Mais cette organisation ne peut être que temporaire car elle ne répond pas au cadre habituel fixé par les impératifs de flux tendus. Au mieux, les chargeurs peuvent tenir une semaine. Un délai en passe d'être atteint, voire dépassé si le mouvement de grève perdure après le 20 novembre. « Le point critique est atteint, reconnaît-on à l'AUTF. Les prémices d'un ralentissement de l'activité se font déjà sentir. Si le mouvement s'éternise, certains sites industriels connaîtront rapidement des ruptures d'approvisionnement ». Industries de la chimie, du verre, du pétrole ou sidérurgie seront les premières touchées. « Actuellement (mardi 2

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