Privilégier les bonnes pratiques

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Les polices européennes s’appuient sur le dispositif TISPOL pour échanger des bonnes pratiques en matière de lutte contre l’insécurité routière. Cette mutualisation des compétences participe à l’harmonisation européenne.

A l’évidence, le règlement social européen sur les temps de conduite et de repos est le plus avancé en matière de lutte contre l’insécurité routière. Mais il se heurte aux disparités juridiques et culturelles propres aux États membres. « A la différence de certaines polices étrangères où les unités d’autoroute ne font que de la sécurité routière, le gendarme d’unité spécialisée français est capable de faire de la sécurité routière et de la sécurité tout court », observe le colonel Gérard Escolano, chef du bureau de la sécurité routière à la Direction générale de la Gendarmerie nationale (DGGN). Il est multicompétent. » C’est précisément pour profiter du savoir-faire d’un État membre que l’association TISPOL(1) a été créée en 1996. Elle réunit les forces de l’ordre de l’UE afin de garantir une meilleure sécurité routière par-delà les frontières. Son sloga

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