Quelle feuille de route pour le transport et la logistique ?

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La conférence inaugurale de la SITL le 14 mars a esquissé les pistes des candidats à la présidentielle pour le transport et la logistique. Quatre candidats étaient représentés : François Fillon, Emmanuel Macron, Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen. Des investissements à la fiscalité environnementale, de la stratégie pour la logistique à la relance des ports ; les représentants ont convenu que des précisions seraient apportées le 22 mars lors du colloque de l’association TDIE organisé au Palais Brongniart.

La fonction de porte-parole n’est pas une mission aisée. Surtout comme l’a reconnu Louis Nègre, sénateur (LR) des Alpes-Maritimes, lorsque le transport n’est pas « la priorité des priorités » de l’élection présidentielle. Est-ce la raison pour laquelle l’écurie de Benoît Hamon, vainqueur de la primaire socialiste, était aux abonnés absents lors de la conférence inaugurale ? Difficile de le dire. Christine Revault d’Allonnes-Bonnefoy, eurodéputée socialiste membre de la commission transport à Strasbourg, est pourtant désignée pour s’exprimer sur ces sujets. Objectivement, Arnaud Leroy, député socialiste

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