«La SNCF aurait plutôt vocation à descendre dans l'actionnariat de Novatrans qui a besoin d'une recapitalisation pour au moins doubler le capital social existant (3,6 M€. NDLR) et ainsi accompagner les investissements nécessaires au développement de l'entreprise. » L'annonce faite par René Petit, président du conseil d'administration de Novatrans, le 2 octobre, a surpris. Alors qu'une prise de participation majoritaire dans l'actionnariat de Novatrans par le groupe ferroviaire était attendue, après être monté à 49 % en début d'année, le président a confirmé que la SNCF avait retiré « sa demande d'agrément de prise majoritaire, alors étudiée par le Conseil de la concurrence, en juillet dernier ». Une décision qui a dû rassurer les actionnaires routiers, eux qui avaient alors parlé d'une « nationalisation rampante de Novatrans » (L'OT 2393). Mais si la SNCF se rétracte, qui peut apporter de l'argent frais pour tout à la fois rassurer les banques et dégager des fond
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