En Bretagne, la filière agroalimentaire craint d'être... « coupée du monde ». En cause : situation géographique excentrée dans l'Europe qui penche vers l'Est, pénurie de PL, augmentation des coûts énergétiques, menaces de « relocalisation » ailleurs, niveau d'exigence de la grande distribution... A l'initiative de l'ABEA (association bretonne des entreprises agroalimentaires), une convention a été organisée le 17 janvier, à Pacé (35), clôturée par la signature d'une charte d'engagement des trois présidents locaux de l'ABEA, de la FNTR et de TLF (respectivement Christian Tacquard, Gilles Collyer et Patrick Lahaye). « Il est temps de se parler vrai et de se parler franc. Nous avons besoin d'entreprises de transport fortes en Bretagne, tout comme ces dernières gagnent à travailler pour des producteurs en bonne santé », souligne Christian Tacquard, au nom des 725 établissements de l'A
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