« Certaines se sont même montrées intéressées par la reprise de 16 chantiers, alors que d'autres sites n'ont aucun candidat », note Pascal Fouet, à la direction de la stratégie et du développement de RFF. Début juillet, le gestionnaire des infrastructures ferroviaires avait lancé un appel à « manifestation d'intérêt » composé de deux volets. Le premier concerne la location de la vingtaine de terminaux de transport combiné libérés, entre autres par l'arrêt de l'activité de la CNC entre juin 2002 et juin 2005. Le second volet s'adresse aux candidats à la gestion (entretien, réception des marchandises, reconnaissance des caisses, manutention...) de terminaux toujours en activité, c'est-à-dire les 20 autres terminaux, propriété de RFF. « Trois sortes de profils se distinguent, explique Pascal Fouet. Ceux qui souhaitent poursuivre l'activité ferroviaire, ceux qui veulent devenir gestionnaire d'une plateforme mais en arrêtant le transport combiné et les derniers qui prévoient de faire tout a
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