Une annonce formulée en réponse à la question de Michel Grégoire, P-dg des Transports Grégoire-Galliard (89), lors d'une rencontre avec Nicolas Sarkozy à Sens le 18 janvier : « Lors de la campagne présidentielle, vous vous étiez engagé à mettre en oeuvre une écotaxe sur les infrastructures non concédées qui s'accompagnerait de la suppression de la taxe à l'essieu. Maintenez-vous l'engagement ? » Devant six chefs d'entreprise, le président a répondu par l'affirmative. En 2005, la taxe à l'essieu a représenté une recette fiscale de 200 M€, bien loin des 800 M€ attendus dans les caisses de l'État avec l'éco-taxe. « Dans mon entreprise (14 M€ de CA et 60 moteurs, ndlr), la taxe à l'essieu s'élève à 35 000 €. Difficile aujourd'hui d'évaluer l'impact de la prochaine eco-taxe », reconnaît Michel Grégoire. Qui l'a également interrogé sur la nécessité d'engager « une harmonisation fiscale et sociale, de
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