Les nouveaux statuts devraient permettre à ces structures de devenir membres associés dès lors que plus de la moitié de leurs agents sont adhérents à la CSD, au lieu de l'intégralité précédemment. Serge Fontaine, vice-président de la CSD, a fait part de son inquiétude face à une réforme imposée par les pouvoirs publics : « cet assouplissement des règles d'adhésion des groupements commerciaux ne fera que marginaliser davantage les entreprises indépendantes. Nous souhaitons plus de représentativité ». A la tête de la CSD, les responsables se veulent magnanimes. « Notre vision est à la fois professionnelle, sociale et politique. Nous luttons à armes égales avec des fédérations comme TLF ou l'Unostra qui nous jugent représentatifs », précisait Fabien Limoges, président sortant de la CSD, remplacé par Pierre-Yves Comès. Autre source de préoccupation : l'emploi. François Verger, président de la commission formation professionnelle, a admis une fois d
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