Ainsi, le 21 novembre, dans le cadre d'un séminaire organisé par l'association TDIE (Transport Développement Intermodalité Environnement), le directeur général des routes - qui s'exprimait au nom du secrétaire d'Etat chargé des Transports - a esquissé quelques grandes lignes. Serait donc concernés les 11 800 km du réseau routier structurant non concédé « auquel pourraient être ajoutées les routes gérées par les collectivités territoriales en cas de report de trafic sur ces axes » a indiqué Patrice Parisé. Autrement dit, les conseils généraux auront la possibilité d'instaurer une taxation sur les départementales « alternatives » au réseau taxé si la gratuité de ces axes suscite un accroissement de leur fréquentation. La taxe s'appliquera aux véhicules de plus de 3,5t. Son recouvrement devrait être externalisé auprès « d'un ou plusieurs » prestataires et son montant « légèrement inférieur aux coûts actuels des péages autoroutiers » selon Patrice Parisé. Le gouvernement s
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