Dans un courrier adressé le 4 mars au ministre des Transports, la Fédération des entreprises de transport et logistique de France estime « très regrettable que quatre mois après des négociations sociales où un accord a été conclu, aucune décision n'ait été prise ». La prolongation de la ristourne fiscale était, avec les aides à la réduction du temps de travail, l'un des engagements pris par Gilles de Robien vis-à-vis des deux organisations professionnelles signataires de l'accord du 25 novembre. Or, la profession ne voit toujours rien venir alors qu'elle doit affronter « des conditions de plus en plus défavorables (inflation du prix du gazole et marché baissier en volume et en prix) et avant le relèvement important des salaires conventionnels (5 %) ». Une analyse partagée par la FNTR (Fédération nationale des transports routiers) qui en appelle au volontarisme de tous les acteurs du secteur. Les transporteurs doivent « impérativement » répercu
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