L'OT : Le départ de TLF de l'UFT, acté en mars (L'OT 2400), après la signature des accords du 7 décembre 2006, met-il en péril l'avenir d'autres organismes collectifs, du type CNR, AFT, Carcept..., où vous siégez avec la FNTR ?
A. B. : Dans ces organismes historiques, il ne saurait y avoir de chasses gardées, au profit de personnages inamovibles. J'ose le dire : certaines structures ont été colonisées par la FNTR. Dans le même temps, des personnes n'ont pas voulu reconnaître la réalité de TLF. La tradition du fait accompli n'est plus acceptable. L'appréciation vaut pour tous les organismes collectifs.
Cela explique le départ de l'UFT ?
A. B. : Avec l'UFT, nous avons vécu une crise de leadership. Ce n'est pas une question de pouvoir ou de querelles d'ego. Simplement, nous ne voulonspas nous voir imposer de diktats. TLF a démontré par ses actions et initiatives qu'elle mérite sa part du leadership.
En septembre, le CNR
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