Le débat législatif lié à la révision des réseaux transeuropéens de transport (RTE-T) entre dans sa phase active. Au Parlement européen, les rapporteurs ont été désignés. Dominique Riquet et Inès Ayala Sender sont chargés du mécanisme d’interconnexion de l’Europe (« Connecting Europe Facility »). Ismail Ertug et Giorgios Koumoutsakos réfléchissent aux nouvelles orientations des RTE-T à l’horizon 2020 (« guidelines »). « Le dossier est d’une grande complexité et concerne trois commissions parlementaires (transports, budgets, régions), note Dominique Riquet, le vice-président de la commission transport à Strasbourg. L’idée, c’est d’achever les auditions et les réflexions liées au mécanisme d’interconnexion avant la fin de l’année ». Un rapport sera publié à l’automne ; le vote en première lecture est prévu en 2013. 6 ou 7 corridors prioritaires seront sélectionnés (« core network »). Il s’agit de projets qui offrent la plus haute valeur ajoutée parce qu’ils permettent d’éliminer les goulets d’étranglement, de combler les chaînons manquants et d’augmenter l’interopérabilité des réseaux. « L’en
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