L'Union des fédérations de transport a exprimé la position de ses membres (FNTR et TLF) qui avait été déterminée lors d'une rencontre, le 11 octobre. « Des augmentations variables selon les coefficients ont été proposées, indique Jean-Paul Deneuville, délégué général de la FNTR. A savoir des pourcentages qui s'étageaient de 1,7 % pour les 150 M à 4 % au moins pour les 115 M, afin de permettre à ces derniers de retrouver le niveau du smic ». La proposition a été jugée irrecevable par l'intersyndicale des salariés qui, elle, a fixé la barre à +8 % au titre du « rattrapage du passé » (application de la clause de revoyure notamment) et de l'année 2006. « On est très loin du compte, reconnaît la FNTR. Mais nous ne pouvons pas ne pas prendre en considération des facteurs tels que l'Europe ou la charge que représentent les dispositifs sociaux du transport ». Alors que le coût de la vie a progressé de 7 % en 2006, les taux hor
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