L'IRU (Union Internationale du transport routier) juge « réaliste » le diagnostic de la Commission qui table sur une hausse de 38 % de la demande de transport de marchandises dans les 10 ans à venir. Elle déplore en revanche que le Livre blanc ne prévoit pas des investissements suffisants en matière d'infrastructures pour faire face à cette croissance. Ce qui pourrait « entraîner une congestion accrue » dont « la protection de l'environnement subirait directement les conséquences ».
La FNTR (Fédération nationale des transports routiers), craint même « de voir s'enclencher un terrible cercle vicieux : croissance inéluctable du trafic donc engorgement inévitable des infrastructures routières donc coût (externe) d'encombrement à la hausse. » Dans sa Lettre du Transport Routier, la fédération française se dit « d'accord pour que le tra
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?