Une adoption dans la douleur

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Après l'adoption définitive de la loi portant sur la réforme portuaire, le 24 juin, chaque « grand port maritime » a maintenant trois mois pour mettre à oeuvre son « projet stratégique ».

Ce dernier recentre les ports sur leurs missions régaliennes d'aménageur et de gestionnaire de domaine, et organise les modalités de transfert « des outillages utilisés pour les opérations de chargement, de déchargement, de manutention et de stockage liées aux navires ». La nouvelle gouvernance des ports a jusqu'au 1er novembre pour trouver un accord avec les organisations syndicales sur les conditions dans lesquelles s'effectuera le passage des personnels du public vers les opérateurs de terminaux privés. Et d'ici deux ans au plus tard, l'ensemble des activités devront obligatoirement avoir migré vers ces opérateurs. Des grèves pourraient donc perler pendant ces discussions. Justement, entamé depuis la mi-avril, le mouvement social a déjà fortement perturbé les trafics et plombé les résultats des différents acteurs portuaires, qui pourront dans le cadre de la nouvelle gouvernance être représentés dans un conseil de surveillanc

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