Une reprise douloureuse

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Le Comité central d'entreprise d'Ebrex France (ex-Nexia) a voté un droit d'alerte le 16 octobre. La situation reste tendue.

Dans l'air : une cession totale des biens immobiliers d'Ebrex et des licenciements dans trois agences. Les deux mesures sont au coeur de l'actualité d'Ebrex, filiale de DKTrans, holding néerlando-britannique qui a repris l'ex-groupe Nexia à la barre du tribunal de commerce de Nanterre, le 24 avril. Elles ont eu pour effet de créer un climat de défiance entre la direction et les élus au CCE. Tant et si bien que ces derniers ont décidé de voter un droit d'alerte lors du CCE du 16 octobre, avec l'objectif d'avoir accès aux documents comptables susceptibles de les informer sur la situation financière et la stratégie de l'entreprise.

Selon une source proche du dossier, Ebrex France perdrait près d'un million d'euros chaque mois. Pas de quoi s'inquiéter néanmoins - « nous ne sommes pas dans une totale dérive » (dixit la source) - puisque ces pertes auraient été anticipées - « aux deux tiers environ » - par DKTrans au moment de la reprise. Le groupe néerlandais aurait par ailleurs hérité d'un CA

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