Les syndicats souhaitent que William Gaillard démontre, en premier lieu, l'efficacité économique du recours à la sous-traitance qu'il a prévue pour pallier le ralentissement ou l'arrêt de l'activité programmée dans certaines agences (Clermont-Ferrand, Nancy, Narbonne, Rouen). La direction d'Ebrex France campe pour l'heure sur le chiffre de 242 licenciements (sur 1480 salariés) annoncé au moment du déclenchement de la procédure de sauvegarde, et sur une réduction du recours à l'intérim. Ils ne devraient pas intervenir avant mi-février. Un guichet de départs volontaires (ciblé) a été ouvert. Un appel à la mobilité géographique et des mesures de reclassement sont également mis en place. « Sur le plan des mesures d'accompagnement, direction et représentants des salariés ne sont pas loin d'un accord », confie un proche
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