Stef-TFE a tiré les leçons de l'exercice 2006. Cette année-là, certaines circontances - pénurie de véhicules et de conducteurs sur fond de surchauffe commerciale - l'avaient contraint à faire substantiellement appel à une sous-traitance «spot» onéreuse. Ce qui avait alors eu pour effet de peser sur ses coûts fixes. « En 2007, nous avons procédé au renforcement de notre parc propre. Nous avons acquis une centaine de véhicules et recruté près de 150 conducteurs », déclare Bernard Jolivet, vice-Pdg délégué du groupe. Lequel annonce un chiffre d'affaires transport (61 % des ventes) en progression de 13,3 % par rapport à 2006 (7,8 % à périmètre comparable) à 1,178 Md€. Une performance qualifiée de « bien orientée » dans un contexte où Stef-TFE a surfé à la fois sur des éléments favorables (les défaillances de Nexia et de Frimaco) et sur une mer agitée (la conjoncture économique). Au
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