En effet, lors d'immobilisations forcées, comme ce fut le cas à la mi-janvier, le temps passé par le conducteur sur le bord de la route, ou sur un parking dans la meilleure des situations, correspond à du temps de travail rémunéré. Mais faute de circuler, la mission ne peut s'effectuer. Un manque à gagner non négligeable quand l'immobilisation se maintient dans le temps. Heureusement, si le transporteur fournit la preuve de l'arrêté préfectorale, il peut éviter des pénalités pour les retards de livraison. Des aléas météorologiques qui placent les transporteurs entre le marteau et l'enclume. Une situation que la FNTR souhaite voir évoluer. « Quand les pouvoirs publics prennent une décision, dans certains cas, d'intérêt général pour la sécurité des biens et des personnes, son impact économique ne doit pas être oublié, argumente Francis Bab�
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?