Une nouvelle réunion franco-turque fixée au 20 octobre doit clarifier définitivement les conditions de l’acheminement en France des semi-remorques turques débarquées dans les ports de Toulon et Marseille et provenant des ferries affectés aux liaisons Toulon-Terkidag et Marseille-Pendik (L’OT 2562). Il ne fait aucun doute que le conducteur turc débarqué d’avion à Marseille ou Toulon qui vient atteler sur le port, avec un tracteur resté en France, une semi-remorque embarquée sans son tracteur sur le ferry, pour l’acheminer ensuite sur le territoire français se trouve en situation de cabotage illégal du fait de la rupture de charge. S’il vient récupérer au port son attelage (tracteur et semi-remorque) et qu’il possède une autorisation bilatérale, il opère en toute légalité car il n’y a pas rupture de charge. « La difficulté réside dans le fait que ces autorisations sont contingentées et en nombre insuffisant face au volume de trafic », souligne Marc Grolleau, président de l’AFTRI (Association française du transport routier international). Cette dernière a donc proposé à son homologue – l’UND, propriétaire de l’armement ottoman
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