La période d'observation a été fixée à six mois. Pour le président du conseil d'administration, Serge Meynard, « la société a pâti des problèmes classiques du secteur. La hausse du prix du gazole n'a pu être répercutée et la concurrence des entreprises étrangères, dont certaines sont pilotées par Gefco et des filiales de la SNCF, a fait baisser les prix ». Le dirigeant impute également ses difficultés aux rigidités du droit social qui ont empêché de restructurer ou de déménager l'entreprise. « La situation géographique de la Dordogne n'est pas idéale car il y a peu de chargements sur la région », explique Serge Meynard. Si l'activité «tautliner» de Vézère Transports a particulièrement souffert, les branches spécialisées que sont la citerne et le pulvérulent se portent bien, estime le président du conseil d'administration. Il se montre confiant dans l'avenir et compte présenter un plan de continuation. « On va se relever grâce à la très bonne collaboration de nos salari
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