La crise du marché du VO s'est traduite par des stocks de véhicules élevés sur les parcs ayant pour conséquence un effondrement des prix. « A partir du moment où les acheteurs avaient disparu, il n'y a plus eu de notion de prix de marché. Ce qui a multiplié les pressions sur le marché. Les prix ont suivi une tendance à la baisse, accentuée par l'accumulation des véhicules sur les parcs. Dès lors, toute vente d'un VN était susceptible, sur le marché du VO, de créer un souci. Le cercle vicieux était enclenché », explique Jean-Michel Mercier, directeur de l'OVI. Sans doute les prix sont-ils arrivés à un niveau plancher comme l'estiment plusieurs acteurs.
Sébastien Henry, responsable de l'activité VOVI chez Mercedes France, constate : « il y a encore beaucoup de pression. Les stocks demeurent assez élevés. Les prix sont certes bas mais stables. Nous sommes arrivés à un niveau limite. » Ce que confirme David
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