Externalisation : les pièges à éviter

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L'externalisation des fonctions transport et logistique n'est pas une opération simple à réaliser. Depuis quelques mois, les tribunaux, soucieux de préserver l'intérêt des salariés, sont de plus en plus attentifs aux conditions dans lesquelles sont effectuées ces opérations. Ils n'hésitent pas à remettre en cause des stratégies d'externalisation et à requalifier les contrats. Tour d'horizon des questions à se poser.

L'externalisation est une opération par laquelle un industriel ou un distributeur décide de confier une partie de ses activités à un prestataire. Cette technique concerne les entreprises qui décident de se recentrer sur leur « core business » et ne souhaitent pas développer d'activités connexes. C'est, à grande échelle, le choix retenu par IBM en 1997 qui décide de confier alors sa logistique à Geodis et Tibbett et Britten. C'est, plus récemment, Iveco qui passe un accord avec Hays. Mais c'est aussi, plus modestement, la décision des grands magasins parisiens de confier l'étiquetage de leurs produits textiles à des entrepositaires de l'Essonne (voir encadré). A priori séduisant sur le plan financier et managérial.

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