Le problème qui se pose actuellement à de nombreuses entreprises de messagerie est simple : en l'état actuel des textes et réglementations, la signature électronique se situe dans un contexte juridique flou. Elle n'a de valeur « qu'à la seule condition qu'au préalable, les parties en ait accepté par écrit le principe ». En outre, les fac-similés de signatures doivent être transmis par des matériels agréés et certifiés pour être totalement authentifiés. Enfin, un signataire a toujours le droit de refuser et d'exiger de signer un document papier. Résultat final : dans le cadre de litiges, la justice a systématiquement débouté ceux qui voulaient opposer une unique image de signature transmise par ondes à une contestation de livraison. Pourtant, disposer d'informations en temps réel sur les mouvements de marchandises est un atout concurrentiel de plus en plus incontournable. Le groupe Geodis vient d'opter pour une solution ménageant la chèvre et le chou. Il va en effet transmettre instantan�
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