Réservé aux sociétés d'Etat (Romtrans, IATA) jusqu'en 1989, le marché roumain du transport routier de marchandises a vu depuis fleurir pléthore d'entreprises très hétéroclites. Pour la plupart artisanales, celles-ci sont nées à la faveur du développement des échanges et du flou réglementaire entourant toujours cette profession en national. Nombre de ces micro structures ne franchissent toutefois pas les frontières, faute d'obéir aux critères requis pour obtenir les licences nécessaires. D'autres sociétés se sont en revanche spécialisées à l'international. Ces entreprises, qui comptent aujourd'hui de 50 à 100 véhicules, sont apparues au début des années quatre-vingt-dix
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