Un combat perdu d'avance ?

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Le travail au noir n'épargne pas le déménagement. Du petit dépannage d'un week-end entre copains au déménagement en bande organisée (vol de meubles), la «concurrence» a mille visages. Au bout du compte, le travail clandestin peut coûter cher à tout le monde, déménageur accusé et client complice ou non.

«Le travail au noir tire le marché vers le bas. Il vise une partie de notre clientèle, essentiellement dans le particulier. Ce sont des gens qui nous échappent. » Pour Emmanuel Le Guen (les Déménageurs Bretons), le travail clandestin reste un commerce lucratif pour les « déménageurs du dimanche » et représente un manque à gagner pour la profession. Même s'il est très difficile d'avoir des chiffres sur le sujet. Car où commence le marché noir ? Pour Fabien Limoges, président de la Chambre Syndicale du déménagement, « ça démarre par le petit déménagement entre amis en fin de semaine. Jusqu'à des affaires plus importantes comme le responsable de garde-meuble qui vend à la sauvette les biens qu'on lui avait confiés. »

Le président de la CSD fait référence à une « organisation » bien connue des services de police de la

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