Se définissant comme des recruteurs et formateurs de jeunes et moins jeunes en quête d'un métier, les groupements d'employeurs pour l'insertion et la qualification (GEIQ) sont entrés, dans le transport routier, dans une phase de bilan qui incite à la réflexion. Face à une pénurie de main-d'oeuvre moins importante actuellement, les groupements d'employeurs ont-ils encore une raison d'être ? Financées par les entreprises qui les composent, ces structures associatives répondent-elles réellement à la demande de leurs adhérents en termes de services ? Arriveront-elles à prévenir le risque du «papy boom» annoncé dans deux ans ? Pleins feux sur les GEIQ Transport, au nombre de sept dans l'Hexagone, et sur leur avenir, troublé par la situation économique et les prochains contrats de professionnalisation.
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?