Introduction

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Quand ils entendent parler d'accords et de négociations, certains employeurs ou salariés sortent leur revolver. D'autres, leur stylo et leur calculette. C'est une question de culture d'entreprise. Et d'attachement plus ou moins prononcé à des pratiques de dialogue social apaisé. Si les employeurs souhaitent avoir affaire à des organisations syndicales représentatives, responsables et structurées, une minorité les préfèrent encore souvent... chez le voisin. Partenaires ou adversaires ? Dans la pratique, tout dépend de l'esprit d'entreprise, des parties en présence, de leur engagement, de leur bonne foi, et des relations historiques qu'elles ont partagées. Mais ce n'est pas seulement avec de bonnes intentions qu'on fait de bons accords. Une constatation s'impose : le dialogue social, très vivant au niveau de la branche, est encore un peu balbutiant dans les entreprises. Surtout parmi les pme. La possibilité d'y conclure de futurs accords dérogatoires devra être maniée avec précaution.

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