Cinq ventes pour un repreneur !

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Tous les ans, plusieurs dizaines de PME du transport routier disparaissent faute de repreneurs. Ces derniers ne se bousculent pas au portillon avec cinq ventes pour un seul repreneur. Priorité pour le cédant : anticiper la transmission.

Avant d'arriver à la lettre d'intention ou la promesse de cession, qui gèle pendant trois à six mois toute négociation avec un autre tiers, le chemin est semé d'embûches. Sur la valorisation de l'entreprise tout d'abord. Indispensable, l'évaluation de la société est un exercice « extrêmement difficile parce qu'elle comporte à la fois des biens concrets et des éléments immatériels, souvent affectifs. Il n'existe pas d'argus des entreprises et se pose au préalable un problème sémantique : est-ce que je parle de valeur théorique ou bien de valeur de transaction ? », soulève Gilles Lecointre, P-dg du cabinet Intercessio (92), spécialisé dans le rapprochement d'entreprises. « La difficulté, poursuit-il, consiste à faire admettre au chef d'entreprise, ayant tendance à surestimer son bien, que l'évaluation comptable de son affaire ne correspond pas nécessairement à sa valeur marchande. Même

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