La fin de l'âge d'or avec Euro 3

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Les motoristes ont épuisé leurs ressources techniques moteur avec Euro 3. Avec Euro 4, ils butent sur un problème insoluble : réduire en même temps les oxydes d'azote et les particules à l'intérieur du moteur. Ils sont obligés d'adopter le post-traitement des gaz. Le défi technologique aura forcément des incidences économiques pour les transporteurs. Mais dans quelle mesure ?

Il faudra s'y faire : Euro 4 sera pénalisant économiquement pour les transporteurs. Soit sur le montant d'achat du véhicule « armé » de nouveaux équipements pour répondre aux prochaines normes antipollution. Soit sur le coût d'utilisation. Et il n'y a pas d'amélioration à attendre d'Euro 5, en 2008 et 2009. Pour satisfaire à la norme d'émission de polluants Euro 4, à l'échéance 2005 (pour les nouvelles homologations) et 2006 (pour tous les véhicules neufs immatriculés), les constructeurs de véhicules industriels sont obligés d'utiliser le post-traitement des gaz à la sortie des moteurs. Deux techniques s'affrontent. L'une appauvrit l'air d'admission par un apport de gaz d'échappement (EGR) et filtre les particules résiduelles dans un appareil à régé

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