Cinq mois après l'entrée en vigueur du nouveau Code des marchés publics (1), quel premier bilan tirer ? Les transporteurs bénéficient-ils réellement de ce changement et pour quels types de transport ? Le Code réformé offrira-t-il de nouvelles opportunités et suscitera-t-il des vocations ? « Le nouveau code public est beaucoup plus souple pour les candidats. Il suffit de mettre en place une organisation spécifique, contraignante au début, certes, mais qui, une fois lancée, peut se révéler lucrative », argumente un transporteur du sud. Florence Berthelot, déléguée aux affaires juridiques et réglementaires de la FNTR, à Paris, admet que « le code a l'avantage de fixer les délais de paiement. L'Etat est un bon payeur mais il faut savoir être patient... ».
Même si le transport
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