Souvent créé en même temps que l'entreprise et lié à son histoire, l'atelier de mécanique a-t-il encore sa raison d'être chez un transporteur ? Le recentrage sur le coeur de métier, les formules de contrats proposés par les réseaux, l'évolution technologique des matériels roulants et les problèmes de recrutement de techniciens ont de quoi faire réfléchir. Pourtant, loin de succomber aux sirènes de l'externalisation et du « full service », des dirigeants d'entreprise, du grand groupe à la PME, préfèrent garder la maîtrise (partielle ou totale) de l'entretien et de la maintenance de leurs parcs. Ils y mettent deux conditions : vérifier l'efficacité opérationnelle de leur(s) atelier(s) et mesurer les coûts d'exploitation. Certains transporteurs vont même jusqu'à filialiser l'activité.
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