Le poste « atelier » de plus en plus surveillé

Soucieux d'optimiser l'efficacité de leurs ateliers et d'en analyser le coût d'exploitation, des groupes de transport gardent la maîtrise (totale ou partielle) de l'entretien et de la réparation de leurs matériels roulants. Pour les entreprises de moindre taille, le choix est moins net. Capacité à trouver du personnel qualifié et difficulté à entretenir et réparer des véhicules plus complexes sont au centre du raisonnement.

L'atelier de mécanique a-t-il encore sa place dans une entreprise de transport ? L'interrogation, vieux serpent de mer, reste toujours d'actualité. Mais les réponses évoluent en fonction de trois critères : financier, technologique et opérationnel. Autrement dit, les trois questions à se poser pour un chef d'entreprise sont : ai-je les outils pour analyser le coût (investissements et fonctionnement) d'un garage en propre ? Mes « mécanos » auront-ils les compétences, les outils et les informations pour réparer ou entretenir les prochains modèles de véhicules (moteurs et non moteurs) ? Comment ferai-je pour embaucher et motiver des techniciens qualifiés face aux réseaux de marque et indépendants à priori mieux

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