Introduction

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Si les chargeurs payent le surplus de volume gagné par le passage à 44 t, cette nouvelle norme permettrait aux transporteurs de dégager de nouveaux gains de productivité. Mais la mesure ne concernerait véritablement qu'une partie des trafics : le vrac et la benne. Face à nos voisins européens, le 44 t ne devrait pas redonner des couleurs à notre pavillon à l'international. Tour d'horizon des partisans et opposants à cette mesure.

«Les 44 tonnes, nous y sommes ouverts et y travaillons. Nous devons sortir de l'hypocrisie et avancer sur ce dossier afin de trouver un compromis acceptable par tous ». Cette petite phrase de François Goulard, secrétaire d'État aux Transports, lors de l'assemblée générale de l'ATMD (Association française du transport routier de matières dangereuses) le 15 juin dernier, a eu son petit effet auprès de la profession qui réclame depuis quelques années déjà le relèvement à 44 tonnes du PTRA en France. Pour autant, les organisations professionnelles ne se sont pas emballées après cette annonce : les propos du secrétaire d'État n'ayant nullement valeur d'engagement. Reste qu'en s'exprimant sur les 44 tonnes

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