Une (fausse) bonne solution ?

Article réservé aux abonnés

D'un côté, le CNR prévoit une diminution du nombre de camions sur le réseau français avec le passage à 44 t. D'où un bénéfice pour l'environnement. De l'autre, l'Ademe nuance cette projection et prévoit même une hausse significative des émissions de CO2, principal gaz à effet de serre.

Selon les éléments de l'étude du CNR qui nous ont été communiqués, le passage à 44 t se traduira par une baisse du nombre des ensembles routiers de 4 200 sur les routes françaises. Et 5 200 à moyen terme. Une diminution qui s'explique par l'optimisation des moyens et des flux liée à l'augmentation des volumes de chargement. Plus précisément, le CNR évalue l'économie engendrée par cette nouvelle norme à 341 millions de véhicules. kilomètre (Mv. km) par an pour le pavillon français : dont 314 Mv. km de sur le territoire national et 29 Mv. km à l'étranger. Pour les pavillons européens, circulant dans l'Hexagone, la réduction est estimée à 65 Mv. km. À la lecture de ces chiffres, les organisations professionnelles s'accordent pour défendre le 44 t comme moyen de lutte contre la pollution liée au trafic routier de marchandises. Et moins de v

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Enquête

Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15