L'argent n'a pas d'odeur. Raison de plus pour que le secteur du transport s'intéresse de près aux déchets. Des entreprises, parmi celles en particulier qui font du vrac solide, lorgnent sur ce marché alors que celui-ci ne connaît pas une croissance exponentielle en volumes, contrairement aux idées reçues. « Les évolutions réglementaires sont quasiment toutes en place, déclare Cyril Fraissinet, directeur industriel de Sita France (92). Dans cinq ans, le marché aura atteint une maturité telle qu'il sera trop tard pour se positionner. » Nombre d'entreprises de transport veulent saisir ou croire à des opportunités. Mais quelle place y a-t-il réellement pour la profession et dans quelles conditions ?
Aujourd'hui, la majorité des transports de déchets s'effectuent en compte propre. C'est le cas pour plus de 90 % de la
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?