Quelques projets se concrétisent

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Utilisé à la marge, le mode fluvial pourrait augmenter sa part de transport, notamment de déchets, dans les années qui viennent. Son coût économique n'est pas prohibitif pour peu que les départs et les destinations soient proches de la rive. Potentiel et limites d'un mode qui peut profiter aux audacieux.

Ce n'est pas un scoop : les voies navigables restent très minoritaires en tonnage et en flux (respectivement moins de 1 % et moins de 2 %) par rapport à la route qui se taille la part du lion (96 % des tonnages et 81 % des flux) et le rail (2 % des tonnages mais 17 % des flux car il transporte sur des distances beaucoup plus importantes que la route). Les chiffres ne sont pas immuables. La part du fleuve peut évoluer avec les tonnages en jeu. Par exemple, la mise en service, en 2002, de la ligne Rhône-Saône conteneurs, une navette multimodale bihebdomadaire entre Fos-sur-Mer (13), Lyon et la Bourgogne, a permis un bond quasi immédiat de 1 à 15 % de la part fluviale en équivalent vingt pieds (EVP) sur ces destinations. En 2003, celle-ci a atteint 30 %. Rien n'empêche une évolution de même nature dans le déchet.

Aujourd'hui, le fluvial s

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