Lier l'économique et le social au sein d'une démarche acceptée par le patronat, les syndicats, les chargeurs et les pouvoirs publics, c'était l'ambition du Contrat de progrès. Engagé au lendemain des blocages de 1992, nourri au moins jusqu'à la loi de modernisation de 1995, cette approche a bouleversé en profondeur les modes de fonctionnement du secteur. Au point que d'aucuns l'ont qualifiée de « révolution culturelle ». Les réalités européennes ont quelque peu assombri cette vision. Dix ans après, que reste-t-il de ses objectifs ?
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