Les ateliers de réparation intégrés ont-ils encore leur place dans les entreprises de transport ; ou bien l'externalisation de l'activité s'impose-t-elle sous la double poussée de séduisants contrats de service après-vente (indépendants des garanties) proposés par les réseaux de marque et de la sophistication technique des véhicules moteurs ? En vue de répondre à la question, il convient de prendre en compte trois critères : financier, opérationnel et géographique. C'est le point de convergence qui est ressorti d'une table ronde sur le bien fondé des ateliers intégrés, organisée par Iveco France en Italie lors de la visite de l'usine à Brescia, et réunissant des membres du jury du Transporteur de l'Année (1). Pour être efficaces, les trois filtres d'analyse ne peuvent faire abstraction de la nature de l'activité du transp
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